RandosPhotosReportage

Vézénobre's "un village de caractère".
Un des plus spectaculaires villages perchés du sud de la France, au carrefour des Cévennes et de la Provence. Cette situation privilégiée a fait de la cité une étape majeure sur une voie romaine puis sur un chemin médiéval reliant le littoral méditerranéen au nord du Massif Central

Il domine les garrigues et l'opulente plaine où s'unissent les Gardons d'Alès et d'Anduze offrant une vue panoramique exceptionnelle.
Oppidum dans l'antiquité, forteresse par la suite, Vézénobres va connaître un essor démographique et économique aux XIe et XIIe siècles et va prendre toute son importance.

De nombreux témoignages architecturaux racontent l'histoire mouvementée de Vézénobres : la Rue des Maisons Romanes, la Porte Sabran XIIIe, les passages voûtés, les ruelles pavées étroites, la Maison d'Adam et Ève d'époque Renaissance, la Grand'Rue...

La maison à calaberts

Pendant de nombreux siècles, Vézénobres fut spécialisé dans la figue, que l'on faisait sécher sous les « calaberts », terrasses abritées des maisons où l'entreposait des claies pour le séchage des fruits. Elles étaient vendues à l'automne lors de la Foire Saint-André

La cheminée sarrasine
Place de la Mairie, on remarque sur l'Hôtel de Ville, une mitre (partie sommitale de la cheminée) « sarrasine » d'inspiration orientale, dont l'origine reste inconnue. C'est la seule dans le Gard alors qu'on en rencontre beaucoup dans la Bresse (Ain).

Vézénobres dévoile un patrimoine remarquable et donne à lire 1000 ans d'architecture.

Vézénobres fut célèbre pour sa production de figues sèches. Celles-ci étaient vendues à l’automne lors de la foire de la Saint-André.

Au pied du village les amoureux de la nature pourront découvrir le verger conservatoire du figuier, qui est en accès libre, où se trouve près de 1000 arbre pour une centaine d'espèces

La Figoulette
A l'occasion de la 22éme journée de la figue, l'association "Penja Figas" a demandé à l'association "habitats libres en Poitou" de réaliser un modèle réduit de la maison en forme de figue construite par ses soins

Bonne ballade à Vézenobres

Retour sur le Méjean.
Le ciel est chargé de nuages, le soleil joue à cache cache
et un petit vent bien frais couronne le tout

Départ de Gally, à l'extrémité ouest du chaos de Nîmes le Vieux.
Quel plaisir de se retrouver à nouveau dans un tel décor

Le Méjean a repris un peu de couleur depuis la sècheresse de cet été

Je crois que j'ai trouvé un petit coin bien tranquille
où je ne serais pas embêté par les voisins. Reste à convaincre mon épouse ....

Une bonne partie de mon parcours se fait hors piste à travers pâturages et forêt.
Et j'arrive à mon objectif : la ferme de la Fretma

Cette ferme a été un domaine agricole prospère.
A l'époque de la révolution française, en 1796, le hameau
voit l'assassinat de son propriétaire Antoine Pellet, protestant et républicain, par les "brigands royaux" entraînés par l'abbé Sollier dit "Sans Peur".

Au 19ème siècle, la ferme compte 8 paires de boeufs, témoins d'une bonne aisance.
En été il faut une centaine de moissonneurs pour faucher le blé, l'avoine ... à la faucille.
Au début du 20ème siècle, elle est équipée du premier tracteur à essence, 
sur roues en fer

Le recenssement de 1914 donne 50 habitants, 35 entre les deux guerres
et 6 ensuite.
En 1960 le domaine de Fretma devient la propriété du groupement forestier SOMICAL.
Les terres sont boisées principalement de pins noirs, seule essence de se dédelopper sur une terre peu profonde.
Les pouvoirs publics s'associent alors à cette démarche sous l'égide du Fond Forestier National.
On recherche un équilibre "agro-silvo-pastoral" sur le causse qui, à cette époque, se diversifie.
La forêt est entrée en exploitation depuis 1995.

Ses propriétaires restaurent maintement le hameau de Fretma.
Il est temps pour moi de rejoindre ma destination finale.
C'est une randonnée de 16 km, à travers un paysage extraordinaire.
 J'ai même eu la visite de 3 vautours qui se sont posés non loin de moi, 
mais je n'ai pas eu le temps de les prendre en photo, dommage.

Retour à la maison. A bientôt

Ils sont venus ils sont tous là
Dès qu'ils ont entendu ce cri
   "IL Y EN A ASSEZ DES TAXES"

Ni la pluie ni les menaces n'ont fait peur à tous ces courageux 

Macron entends-tu le bruit sourd 
des français qu'on surtaxe 

Mare de se faire ........

Tu connais pas l'histoire des Cévennes Macron
Terre de lutte et de résistance

la cavalerie arrive

Allons enfants

Nos amis de la police étaient là
Mais tout s'est bien passé, les secours pouvaient passer

ça roule ma poule

Moi aussi j'y étais

Par ces temps maussades, c'est bien agréable de voir un peu de jaune.

Rendez-vous à la prochaine

Sur le Causse Méjean, de Hures, Drigas à le Buffre

Le causse Méjean, point culminant de la Terre à l'époque Protocambrienne

Le Parc National des Cévennes peut s'enorgueillir d'héberger sur son territoire une attraction naturelle unique au monde. Il s'agit, rien de moins, que le plus haut sommet de la planète ! Le causse Méjean serait en effet le relief résiduel d'un sommet très ancien (le « proto-Méjean ») dont l'altitude aurait dépassé les 17000 mètres à la fin de sa surrection, à l'ère protocambrienne (- 7 milliards d'année), ce qui en fait non seulement, et de très loin, le point culminant – toutes époques confondues - de la planète Terre, mais également le second sommet du système solaire, après « Olympus Mons », sur Mars, qui ne dépasse le proto-Méjean que de 4 petit millier de mètres.

De Hures un agréable chemin nous amène à Drigas. Malheureusement le trajet est un peu perturbé par des travaux.

En route pour Le Buffre

J'ai découvert la rivière verte sur le causse

Une curiosité à découvrir, l'aven des Crouzettes.

Situé à 1km de Drigas, 1.6km de Hures et à proximité de l’enceinte protohistorique de la Rode,
l’aven des Crouzettes est impressionnant par ses dimensions. Ce trou mesure 18 à 22m de diamètre.

Le fond de l’aven est tapissé de végétation avec des arbustes plutôt grands.
Les parois de la cavité abritent des nids de corbeaux qui se manifestent dans le ciel lorsque l’on parcourt les abords de l’aven.

Un peu plus loin on peut découvrir une enceinte protohistorique 

L'enceinte protohistorique de Drigas (images Google Earth), mesure 150 mètres sur 110. Vieille de 2500 ans, elle domine la solitude du Causse Méjean. Edifiée sur un colline aménagée en terrasses autrefois habitées, elle servait de refuge en cas de menace.

Les vestiges du mur sont encore imposants. Leur hauteur initiale est estimée à quatre mètres. Des sondages ont montré que des habitations s'appuyaient directement sur la partie intérieure de l'enceinte. L'espace central était laissé libre pour les troupeaux.

Après être retourné sur le sentier, on se dirige vers Le Buffre

La croix du Buffre

Du Buffre, dernière partie du circuit, on retourne à Hures

Fin du voyage.
Un petit circuit de 8km, accessible pour tous.

Au départ de Blauzac, charmant petit village du Gard, sur un circuit de 13 km, on découvre ces étranges constructions en pierre

Il y en a de toutes les tailles, bien conservées pour la plupart

Il y en a même certaines composées de plusieurs éléments.
ici une librotte

Le circuit se déroule prncipalement à travers
un bois de chêne très agréable et très bien entretenuu

tout au long du chemin de nouvelles découvertes

Un exemple d'intégration

Incroyable le nombre qu'on peut découvrir dans cette région

Vestiges du passé, le pont romain

chemin faisant on arrive au domaine de la Malaïgue

Son vieux pressoir et le premier tracteur du domaine

Il est temps de retourner sur Blauzac

Je vous souhaite une bonne visite et à bientôt à la découverte
d'autres merveilles de ce magnifique département qu'est le gard

Au dessus de Fraissinet de Fourques et du col de Perjuret,
on découvre "le Chaos de Nîmes le Vieux".

Un site ruiniforme découvert par Paul Arnal, pasteur à Vébron

un univers insolite, avec ses rochers dolomitiques
aux formes étranges et fantastiques,
sculptées par l'érosion depuis des millénaires

Entre l'Hom et Gally, un sentier pédagogique de 4,5 km,
ponctué de panneaux d'interprétation, vous invite à découvrir
les merveilles de ce territoire mystérieux !

Une légende dit que durant les troupes de religion,
les troupes royales parties à la poursuite des protestants
avaient cru arriver au but de leur expédition qui était la ville de Nîmes.

Des hameaux du Veygalier et de l'Hom jusqu'à la Borie de Galy
et à la Fontaine d'Aures, il se développe à
l'altitude moyenne de 1 100 m sur près de 4 km d'étendue. 

Laissez libre cours à votre imagination, ces roches vous
feront peut être penser à un personnage, un animal ou autre ...

Bonne découverte à bientôt

Vézénobres point de départ de mon circuit, fait parti des plus beaux villages de France.
A peine parti, on alterne entre bois de chênes verts et vignes

A chaque région un nom différent.
En Lozère on les appelle des "cazelles", en Provence des "Bories"

tout on long, je traverse des villages aussi magnifiques les uns que les autres

La source captée de la Mayre

Qu'il fait bon vivre ici

Au retour à Vézénobres, on peut apercevoir les Cévennes de l'Hérault du Gard et de la Lozère

Ainsi se termine ce circuit d'une quinzaine de kilomètres, accessible pour tous.

Je vous invite à une petite randonnée, 17km environ au départ du hameau du Boisset.
Ce hameau est situé sur le Causse, juste au dessus de Saint-Enimie, tout près de la D986 en direction de Mende.
Se munir de la carte IGN 2640 OT.
Départ du hameau, un parking est situé à l'entrée. On emprunte le GR de pays qui passe sur la route direction sud est.

Avant le départ ou au retour je vous suggère de visiter la ferme caussenarde du Boisset. Pour pénétrer à l'intérieur des bâtiments, il faut attendre le 1er juillet, mais l'extérieur vaut le coup d'oeil.

La première partie du circuit se fait sur le GR de pays (Rouge et Jaune).
Le premier hameau traversé est Jouanas à environ 5 km du Boisset. Le sentier est très agréable.
On se dirige vers Nissoulogre.

Après Nissoulogres, le sentier descend en direction du sud, au bout de 500m, on peut apercevoir en contrebas le village de Prades

Environ 300m plus loin, ne pas manquer le sentier qui part sur la gauche, direction sud est jusqu'à la côte 833.

de la côte 833, le GR part à gauche vers l'ouest et mène au village de Tonnas.

Passé Tonnas, on peut quitter le GR et s'aventurer hors piste plein sud pour atteindre le belvédère de l'Adrech qui nous offre un point de vue sur Blajoux.

Revenir sur ses pas pour reprendre le GR qui longe la forêt.
Au bout de la forêt, prendre à gauche jusqu'à la côte 944 et encore à gauche un sentier balisé en bleu qui nous ramène sur Nissoulogres.

Tiens Mélenchon a du venir ici.
 A Nissoulogres on retrouve le GR de pays qui nous conduit jusqu'à notre point de départ, Boisset.

Bonne randonnée

Du Pompidou, sur la Corniche des Cévennes, départ d'une belle randonnée.
Une boucle de 18 km.
Un petit parking sur le côté de l'église d'où démarre l'itinéraire en suivant le tracé du GR de pays du tour de la haute vallée Borgne.
Direction le Col de Tartabisac, et ça grimpe ....

Après le col, ça continue jusqu'à la ferme Bézuc, à travers chênes, châtaigners

Après Bézuc on passe dans une agréable forêt de hêtre

Et un sentier très raide parsemé de cailloux nous amène sur le plateau

Et on arrive à l'Hospitalet. Il y a un gîte d'étape et des chambres d'hôte.

A l'entrée de l'Hospitalet, prendre à gauche, traverser la D9 et suivre les GR7 et 67 qui nous fait découvrir la Can.
Le paysage change, c'est valonné, le sentier est large et très agréable.

Sur la droite, on longe les corniches du Méjean, plus loin on aperçoit en face le Mont Aigoual

On continue tranquillement dans la verdure jusqu'à Peyre Agude, et on quitte le GR pour rejoindre la ferme La Bastide. Le sentier est repéré en jaune.

De là un beau sentier goudronné nous amène jusqu'au hameau Les Crottes

J'ai fait une petite provision de pissenlits et de coucou avant d'attaquer une longue et pénible descente pour rejoindre le Pompidou.

Et voilà, fin de la ballade

Randonnée sur la Can de Tardonnenche et la Can de Balazuègnes.
Le sentier démarre au Pont de Barre peu après Florac sur la D907.

Le soleil n'était pas au rendez-vous ce matin.
D'un côté tant mieux car la montée jusqu'au sommet est rude.

De l'autre côté du pont, on emprunte sur la droite le GR43 qu'on quitte peu après pour rejoindre le hameau de la Rouvière

Le chemin part sur la gauche du hameau et c'est une montée d'une heure et demi jusqu'au sommet avec une pente de 45% environ

Au sommet sur la Can de Tardonnenche, le paysage est totalement différent. Ce ne sont que pâturages verdoyants. Le climat aussi, il souffle un petit air frisquet.

Le sentier n'est pas très marqué, il vaut mieux avoir sa carte.
On arrive à une piste qui nous amène sur la Can de Balazuègnes.

J'en profite pour faire une petite récolte de pissenlits.
Si la première partie du circuit est pénible, le rest se passe en partie sur le plateau, puis redescend jusqu'à Balazuègnes

Un abri de berger

La première maison en arrivant à Balazuègnes.
Il faut traverser le village et c'est là qu'il y a un petit problème. Les tracés ne sont pas corrects. C'est un villageois qui m'explique que les marques qu'on apperçoit sont celles de l'ancien GR et qu'ils ne les ont pas effacées. C'est pas sympa.
En bout du villag faut bien prendre à gauche un sentier qui va rejoindre le GR70 en passant à travers bois.

Sympa, ils avaient ouvert le bar pour mon passage.

Ce doit très agréable quand les feuilles auront poussé et à l'automne

Et chemin faisant, tout en suivant le GR70, on arrive à Florac.
Le GR atterrit au Pont de Barre où m'attend gentiment ma voiture qui doit se demander si je n'ai pas perdu mes clés.

Le soleil s'est levé.
Fin d'une belle ballade.